Ces Etats Généraux visaient à faire participer un maximum de personnes, non seulement des experts, mais aussi la société civile : citoyens, représentants associatifs… Chacun a été amené à donner son avis sur des sujets sensibles qui touchent à l’intimité. 

En Martinique, les questions de vieillissement, de maladie, de dépendance, de fin de vie, loin d’être enfermées dans la seule médecine, réclamaient d’être investies par l’ensemble de la société dont la capacité à s’impliquer dans une démarche solidaire envers les plus vulnérables témoigne de son humanité.

Voici une synthèses des des  états généraux pour la révision de la loi bioéthique :